Promotion de l’homosexualité au bac blanc : un sujet qui s’attaque à ceux qui luttent contre l’homosexualité sur la base de la religion

A Rufisque, un sujet d’anglais qui fait la promotion de l’homosexualité, a été présenté à des élèves en classe de Terminale L, à l’examen Blanc de l’I.A de Rufisque.M. Abdoulaye Diédhiou, professeur d’anglais au lycée mixte Delafosse a sonné l’alerte sur un sujet d’anglais présenté à l’examen Blanc à l’I.A de Rufisque et qui traite de l’homosexualité.

Dans la partie (II. LINGUISTIC AND COMMUNICATIVE COMPÉTENCES, B.) l’auteur s’attaque à ceux qui luttent contre l’homosexualité sur la base de la religion. »(…) You’re not a good Christian or Muslim, if you’re gay. It’s in the name of God that people are so (prejudice) …………………. against gays. They are HYPOCRITES ; they don’t want to face the truth », explique le texte.Ainsi, commente M Diedhiou , « j’en déduis que les lobbies maléfiques ont décidé d’endoctriner l’homosexualité à nos enfants à travers l’École et les dessins animés. Pourtant, le Président de la République l’avait nié ».Mieux, fustige l’enseignant, « les collègues d’anglais de l’I.A. de Rufisque devaient réagir énergiquement, avant les élèves, les parents d’élèves et les syndicats, parce que « l’École est la société en miniature » dit-on.

Et les enseignants sont des éducateurs ! Que Dieu protège les Sénégalais et nos enfants ! »Depuis ce matin les Sénégalais fustigent et condamnent avec la dernière énergie ce texte qui fait l’apologie de l’homosexualité. Sur les réseaux sociaux particulièrement, les réactions ne se sont pas faites attendre.

TraductionChère Maman, Je suis désolé d’avoir mis si longtemps à t’écrire. Chaque fois que j’essaie de vous écrire, à toi et à papa, je réalise que je ne dis pas ce que j’ai sur le coeur. vous êtes et resterez toujours mes parents. J’ai des amis qui pensent que je suis stupide d’écrire cette lettre. J’espère qu’ils ont tort. J’espère que leurs doutes sont infondés peut être qu’ils sont tombés sur des parents qui les ont moins aimés et leur ont fait moins confiance que les miens. [ … ] Je n’aurais pas écrit, je suppose, si vous ne m’aviez pas parlé de votre participation à la campagne « Save Our campagne Save Our Children ». Cela, plus que tout, m’a fait comprendre que ma responsabilité était de vous dire la vérité, que votre propre enfant, est homosexuel. [ … ] Je suis désolé, maman. Pas pour ce que je suis, mais pour ce que tu dois ressentir en ce moment. Je sais ce qu’est ce que cela va signifier, car je l’ai ressenti pendant la majeure partie de ma vie. Le dégoût, la honte, l’incrédulité, le rejet par la peur de quelque chose que je connaissais pas, même enfant. Maman, je n’ai pas été « recruté ». Aucun homosexuel chevronné ne m’a servi de mentor. Mais Saches que j’aurais aimé que quelqu’un le fasse. J’aurais aimé que quelqu’un de plus vieux que moi et de plus sage que les gens d’Orlando m’ait rassuré et dit : « Tout va bien, petit. Tu peux grandir pour devenir un docteur ou un professeur comme tout le monde. Tu n’es pas fou, malade ou mauvais. Tu peux réussir et être heureux et trouver la paix avec des amis – toutes sortes d’amis – qui se fichent éperdument de savoir avec qui tu vas partager le lit conjugual. Le plus important Mais surtout, on peut aimer et être aimé, sans se détester pour autant. » Mais personne ne m’a jamais dit ça, maman. J’ai dû le découvrir par moi-même, avec l’aide de la ville qui est devenue ma maison. Je sais que c’est peut-être difficile à croire, mais á San Franciscoil ya plein d’hommes et de femmes aussi bien hétéros et homos, qui ne considèrent pas la sexualité comme un critère de mesure de la valeur d’un autre être humain. Ce ne sont pas des radicaux ou des cinglés, Maman. Ce sont des employés de magasin, des banquiers, des personnes dignes de ce nom et surtout des gens sans façon qui te font un signe de tête et te sourient quand tu les croises dans le bus. Leur attitude n’est ni condescendante ni apitoyante. Et leur message est si simple : Oui, tu es une personne. Oui, je t’aime bien. Oui, c’est normal que tu m’apprécies aussi. Je sais ce que vous pensez maintenant. Tu te demandes : Qu’est-ce que avons-nous mal fait ? Comment avons-nous laissé cela se produire ? Lequel d’entre nous l’a rendu comme ça ? Je ne peux pas répondre à ça, maman. A long terme, je pense que je m’en fiche. Tout ce que je sais, c’est que : si mes parents êtes responsables de ce que je suis, alors je vous remercie de tout mon coeur, car c’est la lumière et la joie de ma vie. la joie de ma vie. Je sais que je ne peux pas vous dire ce que c’est d’être gay. Mais je peux vous dire ce que ce n’est pas. Ce n’est pas se cacher derrière des mots, maman. Comme famille, décence et christianisme. Ce n’est pas avoir peur de son corps, ou des plaisirs que Dieu a créés pour lui. Ce n’est pas juger son voisin, sauf quand il est grossier ou méchant. Être gay m’a appris la tolérance, la compassion et l’humilité. Cela m’a montré les possibilités illimitées possibilités illimitées de vivre. J’ai rencontré des gens dont la passion, la gentillesse et la sensibilité ont été m’ont fourni une source constante de force. Cela pour te dire maman, que je me plais ici. Oui carrément! Il n’y a pas grand chose d’autre Je peux dire, sauf que je suis le même Michael que vous avez toujours connu. Tu me connais juste mieux maintenant. Je n’ai jamais consciemment fait quelque chose pour te blesser. Et je ne le ferai jamais. Ne te sens pas obligé de répondre tout de suite. C’est suffisant pour moi de savoir que je n’ai plus à mentir à aux gens qui m’ont appris à apprécier la vérité. [ … ] Ton cher fils , Michael.